● EHPAD du Centre d'Action Sociale de la Ville de Paris


Sarcelles, Belleville, Galignani... 
Dans les établissements, les conditions de travail se durcissent du fait d'effectifs insuffisants.

Alors que les prises en charge des pensionnaires deviennent de plus en plus lourdes, la direction choisit d'emprunter une chaussée glissante, la politique du bâton, plutôt que celle de la concertation.

 
Le sous effectif pèse lourdement sur les conditions de travail et les agents sont au bout du rouleau. Ils ne supportent plus de devoir boucher les trous de plannings ingérables !

Les agents dénoncent l’attitude de la direction de leurs établissements (trop éloignée de l'humain), le manque d’effectifs, l’absence de reconnaissance du travail fourni.

Ils exigent le respect des pensionnaires et des soignants, l’arrêt des pressions, de la polyvalence, de l’autoritarisme, de la remise en cause de leur vie privée, du chantage à la notation, à l’avancement, à l’attribution des primes…

► La sécurité des résidents et des personnels n’est plus assurée, dès lors qu'un agent se retrouve seul à gérer un étage !

MOBILISONS-NOUS !
SOUTENONS LES COLLÈGUES MIS EN DIFFICULTÉ PAR LEUR HIÉRARCHIE !

Dans un contexte où le travail devient épuisant, aucun agent n'est à l'abri d'une «faute» professionnelle parce qu'il est impossible d'être vigilant tout le temps quand la charge de travail dépasse l'entendement.